25 novembre 2007
Au loin
C'est toujours le même rêve, qu'on soit endormi ou éveillé. Ça peut arriver le matin en se réveillant ou au milieu de l'après-midi. On se dit que tout est fini. On essaie de s'en persuader. Mais rien n'est jamais fini. Peut-être est-ce une des constantes de la nature humaine que de toujours laisser une trace. Et de ne rien terminer.
Les douleurs physiques accompagneraient-elles souvent les souffrances morales ? L'estomac meurtri et la tête enserrée dans son collier d'acier iraient-ils de pair avec le doute ?
Un avenir demeure pourtant, loin de tout.
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